Cher Jean-Luc Pleurnichard,
J’ai eu beaucoup de mal à retenir mes larmes en voyant les vôtres. Un tel torrent d’émotion, c’était bouleversant. Mon cœur s’est serré, mes yeux se sont embués… Et je me suis demandée comment exprimer toute cette compassion que j’ai ressentie ? Alors, inspirée par ces larmes et tant de sincérité, j’ai modestement écrit cette chanson pour vous, sur l’air de « Ne pleure pas Jeannette ».
Ne pleure pas, Jean-Luc
Ne pleure pas, Jean-Luc,
On t’a vu verser des larmes de tristesse
C’était plus fort que toi, tu ne pouvais plus résister,
Alors tu as pleuré publiquement, des gouttes de larmes salées ont coulé sur tes joues.
Heureusement, une gentille femme musulmane était là,
Tout près de toi pour te consoler.
Mais tes yeux rougis par la douleur
Ont montré aux yeux du monde
Que tu étais un homme de grand cœur.
Derrière cette carapace de combattant,
Il y a un homme très sensible avec des sentiments.
Nous étions tous submergé par l’émotion, en te voyant,
Mais beaucoup ont vu du théâtre.
Des larmes de crocodiles artificielles.
Pour montrer aux pauvres musulmans victimes de persécutions que toi tu les aimes beaucoup.
Où est la vérité Jean Luc?
Les caméras s’allument,
Et voilà que subitement, tu pleures,
Et tu perds ton si beau sourire ravageur.
Mais eux ils disent que derrière chaque soupir,
Il y a un discours bien conçu.
Alors sèche donc tes larmes.
Car le public n’est plus dupe,
Cette scène a montrer que tu avais beaucoup de talent et a permis de révéler au monde entier qu’un grand artiste dramatique s’est révélé.
Tu mérites l’Oscar pour ton rôle dans le film « la récupération»
Voilà cher Jean Luc, c’était ma chanson, il n’y a pas de rime à chaque phrase, mais cette chanson vient du cœur, je n’ai pas utilisé l’intelligence artificielle car je pense que vous méritez beaucoup mieux, vous méritez des mots sincères qui vous sont destinés pour vous, rien que pour vous.
Et pour conclure, si vous me le permettez, je voulais aussi vous dire que j’ai trouvé un nom qui vous correspond bien. Jean-Luc Pleurnichon.
Un petit clin d’œil affectueux à votre sensibilité si touchante.
Bien à vous,
Avec affection et du second degré
Henda Ayari