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17H59 - vendredi 5 juillet 2024

L’ONU, navire amiral de l’antisionisme jihâdiste ?

 

L’ONU par sa branche chargée des « réfugiés » palestiniens organise depuis 30 ans le terrorisme jihadiste contre Israël et contre le monde entier. L’ONU finance le terrorisme, couvert par les politiciens et les médias. La Société des Nations est morte de son impuissance ; l’ONU a trahi sa vocation pacifique en devenant instrument de terrorisme. Elle a perdu toute légitimité. 

La branche de l’ONU, l’UNRWA, endoctrine des générations successives de « réfugiés » au jihâdisme terroriste, à coups de dizaines de milliards.

Pour 2024, l’Europe alloue 275 millions € à l’UNRWA. La France en ajoute 30. En 2023, le budget de l’UNRWA se montait à 848 millions $.

Les manuels scolaires de l’UNRWA sont antisémites, enseignent aux enfants et aux femmes de mourir pour détruire Israël et font l’apologie du terrorisme. Les preuves sont à la portée de tous, en tapant dans sa barre de recherche : « IMPACT-SE + UNRWA ».

Le think tank IMPACT-SE catalogue de façon académique ces apologies du massacre. Personne ne s’est hasardé à le contester : Déshumanisation des Juifs, révisionnisme historique, délégitimation d’Israël de sa terre ancestrale, glorification du terrorisme jihadiste et du 7 octobre, des attentats suicides appelant à la destruction d’Israël. Dès 6 ans, tout palestinien apprend qu’Israël a « volé » la Palestine en commettant des massacres barbares et viols, ce qui les a préparé à perpétrer le 7 octobre. Les cours religieux enseignent que le Prophète Mahomet a fait l’objet de tentatives d’assassinats par les arabes juifs. Qu’ils outrageaient la vertu des musulmanes et qu’il est impossible de vivre avec eux. Les mathématiques servent à calculer combien de Juifs il reste à tuer. La femme est présentée comme inférieure à l’homme, invitée à mourir en martyr et sacrifier ses enfants. Tuer les Juifs est sanctifié. Le mot « sioniste » signifie Juif, Israéliens et tous les alliés Occidentaux, un « gang » destiné à être exterminé. Le sioniste manipulerait les médias, la finance, les USA, les francs-maçons. La « Palestine Libre de la Mer à la Rivière » signifie le génocide d’Israël, de la méditerranée au Jourdain : de Gaza à l’Égypte, la Syrie et la Jordanie.

L’UNRWA entretient 545 000 enfants répartis en Judée-Samarie, Gaza, Syrie, Jordanie et Liban et y enseigne le terrorisme au travers de 32 000 salariés. Sur Gaza seule,  20 000 salariés sont chargés de cet enseignement dans 706 écoles comprenant 286 000 élèves. 1 professeur pour 14 élèves.

Lors de la Shoah du 7 octobre, 1 200 israéliens ont été suppliciés de la plus abjecte manière, plus de 250 otages dont des bébés et des rescapés de la Shoah de 1945, une orgie de viols prolongée sur les otages. Dès mars 2024, Israël a fourni des vidéos d’au moins 12 employés de l’UNRWA identifiés parmi les terroristes ; ce qui leur avait valu en mars un licenciement immédiat. Avril 2024, l’enquête de l’ONU confiée à Mme Colonna innocente l’UNRWA, ignorant méticuleusement les preuves d’IMPACT-SE.

Le 24 juin une centaine de familles de victimes, de rescapés et d’otages libérés ont porté plainte devant le Tribunal de New-York, contre 4 hauts fonctionnaires de l’UNRWA, pour détournements de 1 milliard de dollars, complicité de trafique d’armes et autre matériel terroriste.

Le 2 juillet, l’ONU a dû enquêter sur Francesca Albanese, sa rapporteuse pour les droits humains des Palestiniens ; déjà condamnée en 2022 et 2023 pour apologie de l’antisémitisme, elle aurait été corrupue par le Hamas pour boycotter Israël.

 

L’impunité de l’UNRWA se nourrit de la volonté de l’ONU d’entretenir l’omerta.

Lorsqu’en 2002-2003 le député européen François Zimeray apporte les preuves de l’antisémitisme de ces manuels avec le professeur Yohanan Manor – qui avait publié en 2003 « Manuels scolaires palestiniens, une génération sacrifiée », puis fondé IMPACT-SE – l’Europe est contrainte au gel des fonds. François Zimeray sera sanctionné par le PS qui le bannira ! En 2015, Ambassadeur de France à Copenhague, il sera sauvé par des policiers d’une terrible tentative d’assassinat terroriste de 20 secondes de tirs automatiques.

En mars 2004 la commission d’enquête de l’OLAF conclura que l’Autorité Palestinienne de Yasser Arafat n’est liée ni « directement ni indirectement » au terrorisme. Ce négationnisme aboutira à la reprise des financements.

 

L’ONU soutient délibérément l’islamisme terroriste via l’UNRWA.

 

Dès la création de l’UNRWA en 1949, au soutien de la guerre déclenchée par les voisins arabes au lendemain de la reconnaissance d’Israël, 700 000 arabes parmi lesquels, travailleurs saisonniers égyptiens, syriens, libanais et jordaniens, bédouins nomades, venant du monde sunnite sont tous estampillés « réfugiés palestiniens ». Inversement, les 900 000 juifs du monde musulman, contraints à fuir en Israël, ruinés, ne susciteront aucun intérêt de l’ONU. Aucun autre peuple que les « réfugiés palestiniens », n’aura reçu autant de financements depuis 1949. Leur statut de « réfugié » est transmissible de génération en génération au lieu de conduire à l’assimilation. Les plus de 6 millions de palestiniens aujourd’hui, dans des lieux nommés « Camps de Réfugiés », comprenant la station balnéaire de Gaza aux luxueuses villas, qualifiés de « prisons à ciel ouvert », ne s’intègrent jamais, ni au Liban, en Égypte, en Syrie, ni en Jordanie où ils furent massacrés ou chassés.

Cette population est condamnée par l’ONU au paradoxe de recevoir assez d’argent pour envoyer une fusée sur la lune, mais vivre dans la précarité mentale d’arme mortelle contre Israël. Excepté les Accords d’Oslo de 93 – devenus caducs par les attaques terroristes de l’Autorité Palestinienne de Arafat contre Israël – toutes les négociations échouent, y compris celles les Accords de Taba en 2001 où Ehud Barak cédait sur tout.

Le motif redondant palestinien du « retour des réfugiés » équivaut à éradiquer les Juifs d’Israël, les tuer et les bannir de la planète.

Toute une dialectique islamiste prépare le terrorisme mondial, qui repose sur trois notions qui servent d’éperon de poupe aux islamistes du monde entier : La « colonisation », la « Nakba » et l’« antisionisme » .

Comment la « colonisation » pourrait exister sur la terre ancestrale du Royaume d’Israël de 3 500 ans, avec depuis une occupation majoritaire juive à Jérusalem ? Une colonie suppose un territoire colonisant l’autre ; l’absurdité dialectique est multiface. Les ancestrales terres d’Israël ont été rachetées ; l’État hébreu a été reconnu par l’ONU.  D’autres terres ont été sauvées conformément au droit international suite aux guerres de 1948, 1956, 1967 et 1972. Quelles promesses de dupes qu’un futur État Palestinien « Judenreïn » ne pouvant tolérer un seul Juif, quand la République Israël est peuplée de 20% de citoyens arabo-musulmans dotés d’une représentation législative plus libre que dans n’importe quel État musulman.

Le concept de « Nakba », « Catastrophe » en arabe pour qualifier l’Indépendance d‘Israël en 1948 est une imposture historique et morale, qui suggère une usurpation d’un État Palestinien qui n’existait pas. Le mot « Palestine » fut choisi au Ier siècle par l’empereur Hadrien pour punir le Royaume d’Israël de sa résistance à Rome et le plonger dans les oubliettes de l’histoire. « Palestine » vient du mot « Philistin » qui signifie « envahisseur » et « pilleur ». Le Royaume fut alors rebaptisé « Syria Pamestinia ». Entre la domination musulmane débutée au VIIe siècle et 1948, personne n’a jamais songé à fonder un État Palestinien jusqu’à l’impulsion du KGB avec les services secrets Égyptiens dans les années 60.

La « Nakba » représente l’axe d‘inversion de la sympathie envers les juifs après la Shoah, en les mettant dans le rôle des Nazis et les arabes dans celui des victimes.

Ainsi les tabous de l’antisémitisme traditionnel culminant dans la Shoah de 6 millions de juifs, sont contournés grâce au nouveau concept d’« antisionisme ». Unique mouvement national à être contesté sur des calomnies ; il laisse naître une désinhibition de l’antisémitisme contre l’État Hébreu, Juif des Nations. Il permet d’exciter la haine antisémite et anti-occidentale et devient le fer de lance de l’islamisme.

Les Mollahs qui oppriment l’héroïque peuple perse justifient leur emprise sur quatre pays au nom de l’antisionisme : le Yémen, l’Irak, la Syrie et le Liban – jadis République à majorité chrétienne – dont il confisque la souveraineté avec le Hezbollah. Les Islamistes du monde entier endoctrinent les jeunes musulmans – comme les Frères Musulmans en France – via des associations financées par l’Etat, l’Algérie, le Qatar et la Turquie – à la haine du « blanc », du « juif » et de la démocratie, au nom de l’antisionisme.

 

La France est aujourd’hui un lieu de propagande, l’extrême-gauche relayant cette dialectique islamiste de l’UNRWA. L’explosion des agressions antisémites est organisée par ce réseau.

Notamment LFI qui dès le lendemain du 7 octobre conteste son caractère terroriste, comme au Hamas.

L’AFP dont Le Figaro révèle la même position. Science-Po encourage ces militants, à l’instar de toute l’université française vérolée de groupuscules jihâdistes palestiniens qui font régner l‘antisémitisme.

L’extrême gauche fait campagne en France sur la « Palestine de la Mer à la Rivière », Rima Hassan diffame publiquement Israël en l’accusant de « dresser des chiens pour violer des Palestiniens ». Quand le Parquet s’en saisira ?

Le viol antisémite de la fillette de 12 ans à Courbevoie est une illustration aussi abjecte que déchirante des effets de cette dialectique obscure pour un profane.

 

L’ONU est le moteur mondial de l’islamisme antisémite.

Dans sa dimension mondiale, l’ONU fait avancer partout les intérêts islamistes et de l’extrême-gauche. Israël est à lui seul cent fois plus condamné que la Chine Communiste, la Corée du Nord et l’Iran ensemble. L’ONU met à la tête de ses Commissions des droits de l’homme et des femmes des États comme l’Arabie Saoudite, l’Iran, la Libye et la Syrie. Son Secrétaire Général refusait de condamner de terrorisme le 7 octobre et le Hamas, de reconnaître les viols collectifs et massacres de juives. L’ONU n’a eu de cesse d’exiger la reddition d’Israël, sans retour des otages, alors qu’il fut ordonné le 24 janvier 2024 par la Cour Internationale de Justice et qu’il est le vœu d’Israël de cesser le combat à Gaza par le retour des otages.

Les diffamations d’Israël pour massacres – pire pour « génocide » – devraient être poursuivies par le Parquet. Ces propos font litière que le Hamas utilise les civils palestiniens comme Boucliers Humains, pend les récalcitrants et massacre ses opposants. Où sont les poursuites de la CPI contre la France et ses alliés qui en 2016 ont bombardés à Mossoul et Raqua les civils iraquiens, dont l’État Islamique se servait de boucliers humains ? Y avait-il des sms et des flyers envoyés avant de bombarder des zones humanitaires ?

L’ONU intègre les Talibans et les absout en les invitant le 30 juin 2024, présente de faux rapports sur la liberté des femmes afghanes et dissimule leurs traitements barbares!

L’ONU a perdu toute légitimité par sa compromission morale et matérielle avec l’Islamisme. Elle a dévoyée sa mission pacifique à des fins terroristes. La dissolution est l’unique réponse au pire scandale politique depuis la fin de la 2e Guerre Mondiale.

 

Signataires :

Lef Forster, Avocat honoraire

Olivier Pardo, Avocat

Muriel Elisabeth Kramer, Avocat

Eliya Waiche, diplômé Avocat

Patrick Pilcer, Conseil et expert sur les marchés financiers, Pilcer & Associés

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