Les socialistes tendent la main à Podemos, parti anti-austérité, tandis que Mariano Rajoy, président sortant, avertit des dangers d’une telle « alliance » : « les choix » économiques de ces « radicaux » pourraient ruiner le pays.
Espagne, les jeux d’alliance ne sont pas faits
lundi 25 janvier 2016 - 09H38