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04H39 - mercredi 19 novembre 2025

Miss Univers cache la démission de la présidente du comité de sélection après les révélations d’Omar Harfouch.

 

Miss Univers cache la démission de la présidente du comité de sélection après les révélations d’Omar Harfouch.

C’est l’information qui bouleverse encore un peu plus l’organisation de Miss Univers : selon des informations exclusives d’Opinion Internationale, la Principessa Camilla di Borbone delle Due Sicilie, présidente du comité de sélection, a remis sa démission de la finale prévue à Bangkok. Cette demission intervient dans une atmosphère de crise déclenchée par les révélations d’Omar Harfouch, membre du jury officiel, qui avait dénoncé l’existence d’une présélection réalisée hors de tout cadre légal, par un « jury improvisé » non reconnu par l’organisation.

Depuis la publication de ces révélations, la situation s’est rapidement dégradée. Claude Makelele, ancien international français et membre du jury, a lui aussi décidé de se retirer, estimant ne pas pouvoir cautionner un processus de sélection dont les contours restent opaques. Les démissions successives, celles d’Harfouch d’abord, puis de Makelele et de la présidente du comité, donnent à l’affaire une ampleur inédite, révélant une fracture interne rarement exposée au grand public.

Plus tôt dans la journée, dans un communiqué publié en urgence, l’Organisation Miss Univers a nié toute irrégularité, affirmant qu’aucun « jury improvisé » n’avait été constitué. Mais le texte, rédigé dans la précipitation, a semé davantage de confusion qu’il n’en a dissipé. L’organisation admet en effet l’existence d’un programme parallèle, « Beyond the Crown » confirmant ainsi les révélations d’Harfouch, dont la sélection a été menée par un comité tiers, sans préciser explicitement le rôle ni les compétences de ce groupe. Une explication insuffisante qui, selon nos sources, aurait contribué à la décision de la présidente du comité de sélection de se retirer.

Pire, le comité d’organisation a tenté d’étouffer le scandale, en faisant supprimer des dizaines de photos  concernant les démissions de la Principessa Camilla di Borbone delle Due Sicilie, de Claude Makelele et d’Omar Harfouch, et sur l’engagement pour la paix de ce dernier dans le concours de Miss Univers, et qui faisaient des millions de vus. La censure ne passera pas !

À Bangkok, les équipes organisatrices tentent désormais de rassurer les candidates et les délégations, tandis que l’élection approche dans un climat inédit de controverse. Entre les tensions diplomatiques, l’humiliation publique subie par Miss Mexique, les polémiques en cascade et la série de démissions provoquées par les révélations d’Omar Harfouch, Miss Univers 2025 apparaît plus que jamais fragilisé. À quelques jours de la finale, une question s’impose : le concours peut-il encore prétendre à la crédibilité qu’il revendique depuis plus de soixante-dix ans ?

 

La Rédaction

 

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