Connu pour ses performances dans les bassins et sa plastique irréprochable, Que vous reste-t-il de Narbonne où vous êtes né, excepté cette mer chère à Trenet ? Je garde ce côté aquatique et amoureux de l’eau, je me sens vraiment en adéquation avec cet élément. J’ai retrouvé cela à Marseille et au Cercle des nageurs. Vous succédez à Alain Bernard dans le rôle de parrain de la Nuit de l’eau. Êtes-vous déjà allé dans des pays touchés par le manque d’eau potable ? Nager pour collecter de l’argent afin d’améliorer l’accès à l’eau potable est un véritable enjeu. C’est très dur de penser que pour certaines personnes l’eau est un luxe ! Après m’être rendu sur le terrain en Haïti et en République démocratique du Congo (Ndlr : en 2014 et 2015), poursuivre mon engagement dans l’humanitaire est devenu impératif. Je sais combien les actions de l’Unicef sont primordiales que ce soit dans le domaine de la santé, de l’accès à l’eau potable ou de l’éducation… Apporter mon soutien aux enfants du Togo est désormais une nécessité pour moi. D’autres destinations sont-elles prévues cette année et/ou les années à venir ? Je ne sais pas, cela est du ressort de l’Unicef. Ce qui est sûr c’est que même si je ne suis plus le parrain de la campagne Pampers Unicef pour les prochaines années, je continuerai à m’engager aux côtés de cette organisation, à travers la Nuit de l’eau mais également par des actions et dons personnels, car cette cause me tient particulièrement à cœur. En quoi a consisté votre rôle de parrain 2014 de la campagne Pampers Unicef ? La connaissiez-vous avant d’y participer vous-même ? Mon rôle était de motiver les troupes, de faire en sorte que ma « notoriété » aide à récolter le plus de dons possible. Je suis très sensible à la cause des enfants, ça a toujours été le cas et devenir papa n’a fait qu’accentuer mon côté protecteur. Oui, je connaissais cette campagne, on entend régulièrement parler de l’Unicef et j’avoue que c’est une véritable opportunité de pouvoir contribuer à la collecte de tous ces vaccins. Que vous a appris ce voyage en tant que père ? J’ai tout simplement de la chance d’avoir une petite fille heureuse et en bonne santé, c’est tout ce qui compte. Ce qu’on voit là-bas est dur, on relativise vraiment après ce genre d’expériences, les soucis du quotidien nous paraissent tellement anodins ! Pourquoi avoir accepté de tourner une publicité Andros aux côtés de Florent Manaudou et Fabien Gilot ? Qu’avez-vous retenu du trophée Andros ? Comment ne pas accepter de faire une publicité avec mes amis ? (Rires) C’est une super expérience, nous avons pris énormément de plaisir à faire ça ensemble et je pense que ça se voit ! Quant au Trophée Andros, c’était une vraie chance de pouvoir participer, de pouvoir s’amuser sur la piste et de s’essayer à un sport que nous n’avons jamais pratiqué, j’étais concentré pour faire au mieux et j’ai adoré les sensations que j’ai eues là-bas. Pourquoi le partenariat qui vous lie à Clarins est-il totalement inédit ? Une possibilité de reconversion s’offre à vous au bout de cette collaboration mais quel type de reconversion : toujours en tant qu’ambassadeur, même après votre carrière ? Avec ces six années, nous avons appris à nous connaître et à construire ensemble. Je me sens proche de cette marque car elle est engagée et proche de la nature, ce qui me tient réellement à cœur. Pour ce qui est de ma reconversion, nous en avons discuté avec Christian Courtin-Clarins et j’ai la chance d’avoir reçu une offre de poste, vous en saurez plus prochainement je pense ! Vous avez déclaré que cette collaboration vous a apporté de la sérénité : est-ce à dire que vous allez décrocher votre première médaille olympique à Rio cet été ? Je fais tout pour ! Je m’entraîne tous les jours pendant plusieurs heures. Je serais très fier de ramener cette médaille, vous vous en doutez ! 1er nageur au musée Grévin : pour vous c’est une reconnaissance du public ? Oui, je pense. Et cette notoriété m’aide dans mon combat actuel aux cotés de l’Unicef. Puis je dois avouer que ça me fait rire de me voir en cire, c’est un honneur d’être au musée Grévin avec d’autres très grands sportifs qui m’ont fait rêver et continuent de le faire. Camille Lacourt – Crédit photo : Albanu.[/caption]

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