L’article C’est beau la démocratie ! L’Actu’Folie d’Hector est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article Kémi Séba, dégage ! L’édito de Michel Taube est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>La France, les Français vont-ils se laisser longtemps marcher sur les pieds et humilier ainsi ?
Les auteurs de ces lignes sont autant attachés aux valeurs et à l’histoire de la France, à toute son histoire. Ils sont tout autant attachés à la diversité, à l’ascenseur social et au respect de la diversité qui composent une société démocratique libérale et moderne.
Pour ces raisons, nous souhaitons une réponse sans merci des autorités contre ceux qui détournent les libertés qui font de la France un des pays les plus libres au monde et qui en abusent pour nous cracher au visage.
Oui, la France est parmi les plus libres du monde et les Kémi Séba en profitent allègrement pour déverser toute leur haine de la France.
Mais, c’est sa liberté, non ?
Ah, elles sont belles la liberté d’expression et la liberté de réunion ainsi pratiquées par des Kémi Séba lorsque ces libertés consistent à brûler le passeport français et à injurier la France.
Voilà donc ce qu’un juge des référés du tribunal administratif de Versailles a rendu possible samedi, au motif que l’arrêté pris par la préfecture de l’Essonne, visant à interdire la conférence de presse de Kémi Séba, et malgré les risques prévisibles de troubles à l’ordre public, « porte une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d’expression et à la liberté de réunion ».
Faiblesse de la France !
Au Bénin, ce malfrat aurait été jeté en prison depuis belle lurette et expulsé de son pays.
« Ne deviens Français que sur le papier ! » Voilà le conseil terrible que donnait il y a vingt ans une mère de famille venue d’Afrique à son fils. Kémi Séba, c’est cet enfant qui a compris la leçon maternelle et qui, vingt ans après, ouvre un nouveau chapitre de cette histoire, une post-histoire : celle du suicide de la part qu’en lui-même il déteste le plus, la France.
Kémi Séba va jusqu’au bout de cette logique en brûlant les signes de son appartenance à la France. Il n’est plus Français et au fond l’a-t-il jamais été ?
Sa conférence de presse, ce marchand de haine l’a tenue à Fleury-Mérogis. C’est dans la prison de la même commune qu’on devrait l’empêcher de nuire et de diffuser son poison.
D’ailleurs, son passeport ne lui appartient pas ! Il est propriété de l’Etat.
A ce titre, l’article 322-1 du code pénal stipule : « La destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger. »
Mieux, dans le Livre IV du code pénal : Des crimes et délits contre la nation, l’Etat et la paix publique (Articles 410-1 à 450-5), des dispositions devraient permettre de condamner lourdement ce comportement qui constitue une incitation scandaleuse à la violence contre la France.
Le gouvernement français a lancé une procédure visant à lui retirer sa nationalité française au motif « d’une posture constante et actuelle résolument antifrançaise, susceptible de porter gravement atteinte aux intérêts français et de nature à caractériser une déloyauté manifeste » à l’égard de la France.
Ancien proche d’Alain Soral et de Dieudonné, – ce dernier est aujourd’hui candidat aux élections européennes, allons donc ! -, Stellio Capo Chichi, surnommé donc Kémi Séba, a dirigé la Tribu Ka, groupuscule suprémaciste noir et antisémite dissous par décret présidentiel le 26 juillet 2006. Voilà donc plus de vingt ans qu’il sévit en France, en Afrique et sur les réseaux sociaux !
Cet homme est particulièrement dangereux depuis que les militants pseudo-anticolonialistes ont trouvé en Afrique, avec l’aide des services secrets russes, des relais très puissants qui ont forgé un sentiment anti-français ravageur.
Le départ humiliant de la France du Mali, du Niger et d’autres pays africains, doit beaucoup à ces Kémi Séba.
Sa haine de la France et de l’Occident, dont l’anti-colonialisme ou le panafricanisme n’est souvent qu’un prétexte, est un puits sans fond qui se nourrit d’un révisionnisme historique et qui fait des ravages en Afrique et dans nos banlieues via les réseaux sociaux.
Au fond, Kémi Séba, mieux vaudrait lui affréter un charter et l’envoyer d’où venaient ses aïeux. Ceux des Français venus d’Afrique qui sont fiers d’être Français comme l’ensemble des Français retrouveront un peu de concorde et de sérénité.
Kémi Séba, dégage !
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]]>L’article RFI : Michel Taube décrypte l’actualité dans « Dimanche politique » avec Philippe Lecaplain le 17 mars 2024 est apparu en premier sur Opinion Internationale.
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L’article RFI : Michel Taube décrypte l’actualité dans « Dimanche politique » avec Philippe Lecaplain le 17 mars 2024 est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article Le Puy du Fou triomphe à Hollywood. Notre billet Vive la France ! est apparu en premier sur Opinion Internationale.
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L’article Le Puy du Fou triomphe à Hollywood. Notre billet Vive la France ! est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article Déplacements de migrants parisiens vers les campagnes : Radouan Kourak dans TPMP avec Cyril Hanouna et Gilles Verdez est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article « Même les communes les plus bourgeoises sont touchées par la violence des jeunes » : Michel Taube sur CNEWS le 16 mars 2024 est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article « J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants » (Sting – 1985) : l’édito de Michel Taube est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>En 1985, l’ancien chanteur et leader du groupe anglais The Police, publiait son premier album solo The Dream of the Blue Turtles, avec la très belle chanson « Russians », dont la mélodie est empruntée à Prokofiev. Une chanson d’une tragique modernité. La Russie est encore soviétique pour quelques années. Mikaël Gorbatchev n’a pas encore mis en oeuvre sa perestroïka et sa glasnost qui marqueront tant une certaine libéralisation que le déclin du régime, et Ronald Reagan a compris que relancer massivement la course aux armements conduira l’Union soviétique à la ruine. En 1985, le pire est encore possible.
En 2024, le pire semble à nouveau possible, mais the Russians love their children too, comme le chantait Sting.
Vladimir Poutine aime-t-il ses enfants ? Quel parent n’aime pas ses enfants ? Comme Staline, il se considère comme le père de la Russie. Tous les Russes sont ses enfants, et leur bonheur passe à ses yeux par la quête d’une grandeur passée. Depuis l’invasion de l’Ukraine, Vladimir Poutine se plaît à rappeler sa puissance nucléaire. Tout en admettant qu’un conflit mondial anéantirait l’humanité, à laquelle appartiennent ses « enfants », il en fait d’avance porter la responsabilité à l’Occident. Menacer d’utiliser LA bombe comme s’il s’agissait d’un armement conventionnel peut aussi y encourager d’autres, comme l’Iran, allié de circonstance de la Russie, à passer à l’acte. C’est irresponsable et donc coupable.
Les fanfaronnades de Poutine sont pitoyables. Certes, la Russie peut tuer quelques dizaines de millions d’Européens occidentaux, raser leurs plus grandes villes, mais au prix d’une guerre mondiale dévastatrice pour tous.
Non, Poutine n’aime pas ses enfants ! C’est le propre d’un tyran ; il n’aime que lui-même.
Emmanuel Marcon, en sa qualité de chef de l’État, aime aussi ses enfants, les Français. Mais sait-il les aimer en jouant les gros bras qu’il n’a pas. L’armée française ne peut lutter contre l’armée russe, ses milliers de chars, sa détermination totale. Que ferions-nous si quelques missiles non nucléaires ou quelques drones s’abattaient sur la Pologne voire la France ? Vraisemblablement pas grand-chose ! Que faisons-nous déjà contre les cyberattaques russes de plus en plus intenses qui visent nos administrations, nos hôpitaux, nos entreprises ? Tenter de limiter les risques et les dégâts.
La dissuasion nucléaire ne fonctionne pas tant que l’ennemi n’a pas employé lui-même une arme nucléaire, ou que le pays est en situation d’être anéanti ou éventuellement envahi. Quant à l’OTAN, elle se résume en réalité aux États-Unis. Et Trump est de plus en plus favori pour l’emporter le 5 novembre prochain.
Les Russes peuvent donc aimer les leurs tout en avançant leurs pions en Ukraine, et au-delà si affinité. Ils pourront peut-être même s’amuser à tester l’Occident, par quelques menus débordements évidemment accidentels en zone OTAN. Emmanuel Macron éructera et Poutine (et peut-être Donald Trump) rigolera.
Il n’est peut-être pas inutile de rappeler aux Russes que tout n’est pas permis, que les leçons de Munich 1938 ont été retenues et que le sacrifice imposé à leurs enfants n’est pas une preuve d’amour.
https://youtu.be/wHylQRVN2Qs?si=4MdFtZDa0BC8zels
In Europe and America there’s a growing feeling of hysteria
Conditioned to respond to all the threats
In the rhetorical speeches of the Soviets
Mister Krushchev said, « We will bury you »
I don’t subscribe to this point of view
It’d be such an ignorant thing to do
If the Russians love their children too
How can I save my little boy from Oppenheimer’s deadly toy?
There is no monopoly on common sense
On either side of the political fence
We share the same biology, regardless of ideology
Believe me when I say to you
I hope the Russians love their children too
There is no historical precedent
To put the words in the mouth of the president?
There’s no such thing as a winnable war
It’s a lie we don’t believe anymore
Mister Reagan says, « We will protect you »
I don’t subscribe to this point of view
Believe me when I say to you
I hope the Russians love their children too
We share the same biology, regardless of ideology
But what might save us, me and you
Is if the Russians love their children too
L’article « J’espère que les Russes aiment aussi leurs enfants » (Sting – 1985) : l’édito de Michel Taube est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>L’article L’écologie en Europe n’est pas à gauche : tribune de Loïc Rousselle est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>Le journaliste Hugo Clément déclarait récemment : « La gauche a kidnappé l’écologie à partir des années 1990 » en réponse à la violente polémique suscitée par son débat avec Jordan Bardella, tenu en avril 2023 dans le cadre du Grand Déb at des Valeurs par Valeurs actuelles.
Une mise au point salutaire…
L’écologie peut-elle être au centre ou à droite ?
Les premiers responsables politiques français à agir concrètement pour la protection de l’environnement furent De Gaulle, Pompidou et Giscard avec en particulier la création du ministère de l’environnement, l’instauration du principe du pollueur payeur et la création des parcs naturels régionaux dans les années soixante suivie lors de la décennie suivante par les premières actions en faveur de la protection du littoral…Les premières mesures efficaces, qui sont toujours en vigueur, pour protéger l’environnement furent donc le fait d’hommes politiques situés à mille lieux de la dérive de l’écologie incarnée par Sandrine Rousseau !
L’écologie politique, de par son appel récurent aux limites, présente incontestablement un tropisme conservateur…La motivation première des écologistes sincères n’est-elle pas de conserver le capital de nature, l’esthétique des paysages ainsi que le patrimoine architectural et traditionnel afin de pouvoir le transmettre intact ou amélioré aux générations futures ? Cet élan initial clairement conservateur était magnifiquement incarné par un programme télévisé très suivi entre 1971 et 1978 intitulé « la France défigurée ».
Ce programme, présenté par Michel Péricard, avait pour objet de lutter contre « la France moche ». La France des panneaux publicitaires, des décharges sauvages et autres constructions inélégantes…Ces préoccupations, très largement partagées par la population, sont bien entendu transpartisanes.
Mais comme le souligne l’historien Philippe Buton en affirmant dans la revue française d’histoire des idées politiques que « L’écologie n’appartient pas au patrimoine idéologique de la gauche », cette posture plutôt conservatrice est naturellement plus congruente avec un positionnement au centre ou à droite de l’échiquier politique.
Qu’en est-il de l’écologie dans les autres pays européens ?
En Suisse, les verts libéraux sont à 8% au niveau national et passent des accords de gouvernement avec la droite…Cette situation se reproduit en Irlande, en Autriche, en Slovénie et en Lettonie. Huit des Länders allemands sont gouvernés par des accords droite/Grünen…Et quand les partis écologistes Européens passent des accords avec la gauche, il s’agit d’une gauche sociale-démocrate proche du positionnement d’Emmanuel Macron.
Ces partis écologistes européens qui forment des coalitions avec le centre et la droite engrangent avec régularité des scores substantiels aux élections. Ces partis défendent une politique ordo libérale favorable aux entreprises. Les écologistes allemands et autrichiens viennent d’ailleurs de voter une baisse importante de la fiscalité des PME…Pourrait-on imaginer cela en France ?
En France, Jean Marc Governatori, militant de longue date de l’écologie au centre, est le porte-drapeau de cette alternative enfin crédible et audacieuse aux gauchistes d’EELV et à d’autres groupuscules waechtériens ou autres. Le 9 juin, lors des élections européennes, il faut espérer que le fondateur d’Ecologie au centre dépassera ces sectaires pour offrir aux Français enfin un choix écologiste.
Cette déclaration d’amour des écologistes européens à l’égard des entreprises n’est pas sans fondement, elle est même fort pragmatique puisque toutes les études internationales montrent que la performance environnementale d’un pays croit avec sa liberté économique…Ce qui signifie que les entraves bureaucratiques, la centralisation excessive et les impôts dissuasifs sont en réalité les ennemis de l’environnement.
Nos voisins savent que moins polluer et réussir notre transition énergétique est une entreprise ambitieuse mais réalisable. Une entreprise qui nécessitera beaucoup d’argent et d’adaptations…Un tissu dense de PME qui innovent et créent des richesses en est la clé de voute.
La relocalisation des industries européenne est indispensable afin de pouvoir produire tout en respectant les standards environnementaux les plus stricts du monde, en développant les circuits courts et l’économie circulaire. Ces relocalisations ne seront possibles qu’à la condition de créer un écosystème économique favorable aux entreprises.
L’écologie responsable peut être un grand projet de société motivant
Les rapports du GIEC ne parlent pas de décroissance mais du nécessaire découplage entre le développement économique et la dégradation de l’environnement… Il n’est pas question de produire moins mais de produire mieux, en consommant moins de ressources et en rejetant moins de polluants dans la nature.
C’est parfaitement possible et c’est déjà en cours de réalisation en Europe.
Georges Pompidou, dont la France commémorera les 50 ans de sa disparition le 2 avril prochain, faisait, lors d’une interview donnée à la revue Réalité, une prophétie qui est d’une actualité étonnante : « Je suis de ceux qui pensent que dans cinquante ans la fortune consistera à pouvoir s’offrir la vie du paysan aisé du début du XXe siècle, à bien des égards, c’est-à-dire de l’espace autour de soi, de l’air pur, des œufs frais, des poules élevées avec du grain, etc. On y ajoute des piscines et des automobiles, mais ce n’est pas une modification fondamentale, il reste le besoin d’air, de pureté, de liberté, de silence ».
L’écologie peut être un grand projet motivant qui allie développement humain et respect de l’environnement, réindustrialisation et préservation de la beauté. Un projet commun qui peut nous recentrer sur l’essentiel : Conserver notre art de vivre et offrir à nos enfants la possibilité de vivre bien, durablement.
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]]>L’article Vicherat n’aurait pas dû démissionner… dans l’intérêt de Sciences Po ! L’Opi’News de Michel Taube est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>Mais pourquoi donc a -t-il cédé à la pression wokiste pseudo féministe ?
Balayant lui-même la présomption d’innocence, le directeur de Sciences Po Paris, Mathias Vicherat, a en effet annoncé sa démission à la suite de son renvoi, en même temps que son ancienne compagne Anissa Bonnefont, devant le Tribunal correctionnel, sur fond d’accusations de violences conjugales réciproques. L’affaire, qui a commencé le 3 décembre dernier par un placement conjoint en garde à vue, n’a donné lieu à aucun dépôt de plainte.
J’accuse les étudiants des syndicats d’extrême-woke de la rue Saint-Guillaume d’avoir demandé la tête de Mathias Vicherat, au nom d’un soi-disant principe d’exemplarité, d’une façon injuste et arbitraire.
Et ce dès le lendemain de cette garde-à-vue, qui n’est en rien un jugement ni une condamnation. Jusqu’à « Solidaire étudiant-e-s » de Sciences-Po Menton qui a décidé de participer à l’hallali !
On le savait déjà avec les classements PISA, le niveau de nos étudiants baisse tragiquement ! Celui de leur jugeote aussi, nous en avons la triste illustration.
Plus inquiétant encore : parmi ces étudiants de Sciences Po, se trouve une partie de la future élite du pays ! Ceux qui, parmi nos jeunes générations, sont amenés demain à diriger la France !
Ils auront donc appris à Sciences po à juger sans instruire et à condamner sans preuves !
Michel Taube
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]]>L’article Rima Hassan prend sa carte chez LFI est apparu en premier sur Opinion Internationale.
]]>Rima Hassan, la médiatique nouvelle passionaria pro-Hamas, la petite sœur des Frères musulmans, la militante vindicative de la destruction d’Israël, rejoint donc les rangs de La France Insoumise, parti proche du FPLP et soucieux des intérêts du Hamas.
Elle se trouve donc propulsée, depuis quelques jours, en bonne place sur la liste des européennes menée par Manon Aubry, à la septième position.
Septième. Sept. Mon esprit badin d’exégète du dimanche ne peut s’empêcher d’y voir une référence symbolique appuyée au caractère sacré de ce nombre premier dans la tradition juive. Il serait par trop fastidieux de faire le compte de toutes ses occurrences dans la Torah ; j’en retiendrai une : le nombre de jours que dure chaque plaie d’Egypte. Pourquoi celle-là ? Je ne sais vraiment pas.
Mais, surtout, le 7, cela me fait penser au 7 octobre ! La date de l’avènement de l’insupportable, le retour de la Catastrophe, la perpétration d’un pogrom géant en terre d’Israêl par des S.A. parlant arabe, des Palestiniens terroristes du Hamas.
Et c’est à la suite de ce 11 septembre israélien qu’a surgi médiatiquement Rima Hassan. On ne la connaissait pas, ou que très peu, auparavant. Mais, depuis ce 7 octobre, se sentant vraisemblablement investie d’une mission politique en terre de France, cette « juriste franco-palestinienne » (comme elle se définit) multiplie les attaques violentes contre l’Etat d’Israël.
Plus particulièrement, une interview donnée en novembre 2023 au média en ligne, « Le Crayon » a achevé d’en faire l’égérie du Hamas. De façon aussi concise qu’efficace, elle avait respectivement répondu « vrai », « faux », « faux » aux trois questions suivantes : « Le Hamas mène-t-il une action légitime ? », « Israël a-t-il un droit de défense ? », « La solution à deux États est-elle possible ? »
Le Hamas mène donc une action légitime.
Légitime, la mort de 1200 juifs innocents ? Vrai.
Légitime, la décapitation des bébés ? Vrai.
Légitime, de les brûler dans des fours ? Vrai.
Légitimes, les viols barbares des Israéliennes ? Vrai.
Légitime, la fracture du bassin d’une femme violée par soixante terroristes du Hamas ? Vrai.
Légitimes, les corps démembrés des femmes, des hommes exhibés dans les rues de Gaza ? Vrai.
Légitime, la détention d’encore 130 otages à Gaza ? Vrai.
Légitime, l’idée qu’un bébé de neuf mois (au moment de son enlèvement) prénommé Kfir est un ennemi que l’on peut retenir en otage ? Vrai.
Je fais grâce au lecteur du tableau exhaustif des atrocités commises par les terroristes du Hamas, ce 7 octobre.
Mais cette légitimation des actions sordides du Hamas ne fut pas sans séduire le gang des Insoumis auto-proclamés qui, eux aussi, bataillent depuis le 7 octobre pour prouver à tour de rôle et à chacun son tour qu’ils font leur cette formule scandée avec des accents mélenchonniens qui résume leur action : « l’antisémitisme, c’est moi ! ».
Oui. Antisémitisme. Je ne participerai pas à cette mascarade qui consiste à distinguer antisémitisme et antisionisme. L’antisionisme, c’est l’antisémitisme qui a mis les habits du dimanche pour être sortable, présentable. C’est l’antisémitisme en costume-cravate qui se donne une conscience politique et une allure élégante et qui parfois même se déguise en intellectuel fatigué fumant la pipe dans sa veste à carreaux.
Ajoutons à cela qu’en bonne juriste hermétique au réel et aveuglée par l’idéologie, Rima Hassan fait d’Israël un État d’apartheid et qualifie son action contre le Hamas de génocidaire. La déclaration d’amour de LFI à l’égérie hamassienne fut immédiate.
LFI ne l’avait pas attendue pour reprendre en chœur le slogan programmatique du futur (?) Etat palestinien « De la mer au Jourdain ». Rima Hassan est l’incarnation de ce slogan.
Mathilde Panot aussi, il est vrai, surtout depuis son passage remarqué devant un journaliste taquin qui l’avait questionnée sur la géographie du Moyen-Orient, géographie dont elle semblait tout ignorer. Où se situerait la Palestine par rapport au Jourdain ? Il est vrai que l’on ne peut pas tout savoir. Mais parfois, il est bon d’avoir un peu moins de certitudes et un peu plus de connaissances. Qu’en pensez-vous, Mathilde ?
Mais laissons cela et souvenons-nous que Danielle Obono avait refusé, une semaine après le 7 octobre, de qualifier le Hamas de groupe terroriste, en faisant un « mouvement de résistance ». David Guiraud, lui, avait fait du négationnisme et avait calomnié gravement Israël, lors d’une conférence à Tunis, en novembre 2023 : « les bébés dans les fours, ça a été fait, en effet, par Israël » (conférence à laquelle assistait Rima Hassan). Quelques jours plus tard, Mélenchon lui-même faisait, sur une estrade de meeting, un sketch à la Dieudonné, moquant « le bébé, là » qu’on lui demandait d’aider à libérer, en raison de ses excellentes relations avec le FPLP. Le malheur atroce du petit Kfir a bien fait rire la salle toute acquise à l’humour insoumis du sinistre Mélenchon.
Dans ces conditions, Rima Hassan a eu droit à de nombreuses marques de bienvenue au sein de LFI. Manuel Bompard a estimé que c’était « un honneur de l’avoir sur notre liste ». David Guiraud a déclaré pour sa part : « Quelle fierté de retrouver Rima Hassan sur notre liste ». Clémentine Autain parle quant à elle d’ « un symbole sur ce sujet que nous portons ». Etc.
A la réflexion, je me demande si Rima Hassan ne va pas faire figure de modérée au milieu des Insoumis !
Mais surtout, cette stratégie fonctionnera-t-elle ? Je n’y crois pas un instant et je le souhaite encore moins.
Alors, en attendant d’assister au crash de LFI en juin prochain, je souhaite un joyeux ramadan à mes amis musulmans qui ont pleuré avec sincérité avec moi le soir du 7 octobre et qui ont craché en même temps que moi sur le Hamas, ses cadres, ses membres et ses soutiens d’ici et de là-bas.
L’article Rima Hassan prend sa carte chez LFI est apparu en premier sur Opinion Internationale.
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